1. Changer notre manière de consommer les poissons

Chaque année, un ménage consomme plusieurs dizaines de kilos de poissons, dont le saumon, le colin ou encore le thon rouge. Les enfants aiment bien les poissons. Ainsi, on essaye de les cuisiner le plus souvent possible.

Toutefois, au fur et à mesure que le temps passe, les espèces de poissons que l’on consomme le plus deviennent de plus en plus rares. Si nous voulons donc permettre à la génération future de manger ces poissons, il est essentiel de protéger l’écosystème de nos océans et de changer notre façon de consommer.

2. Respecter la saisonnalité des poissons

De nos jours, on sait que certains fruits et légumes ne sont pas disponibles toute l’année. C’est pourquoi la société essaye de ne pas consommer les tomates en plein hiver afin de préserver la planète. Dans ce sens, c’est aussi pareil pour les poissons.

Notez qu’il y a un calendrier de pêche pour chaque espèce prenant en compte le cycle de reproduction de chacune d’entre elles. En sachant la provenance et la taille des poissons, il est possible de déterminer si le calendrier de pêche a été respecté ou non.

3. Consommer des poissons oubliés

Si auparavant on consomme moins certains poissons, ceux-ci sont aujourd’hui remis au goût du jour. Et pourquoi pas alors ne pas essayer le sprat ? En effet, nos grands-parents consommaient avant ce type de poisson. Mais de nos jours, il ne se trouve plus dans nos assiettes. C’est aussi le cas de la sardine. Utilisez souvent différents types de poissons pour varier vos recettes. Ainsi, vous allez contribuer à protéger la biodiversité marine en privilégiant davantage la pêche locale et durable.

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Ce qu’il faut savoir sur la préparation de sorbets maison

Même si vous êtes loin d’être un professionnel des sorbets, vous pouvez en réaliser chez vous. Évidemment, il est difficile d’obtenir des sorbets de la même texture et de la même qualité que chez les professionnels. Mais vous aurez de délicieux résultats que tout le monde chez vous appréciera. De plus, avec le temps et des entraînements, vous allez forcément vous améliorer et il y a de fortes chances où vous allez vous surprendre ! Surtout, dites-vous bien qu’au moins, vous savez exactement ce que vous y avez mis. Vous ne vous demandez pas s’il y a du colorant pour embellir l’aspect, un produit chimique pour la conservation ou encore un rehausseur de goût. Justement, un petit rappel, misez toujours sur des ingrédients frais et de qualité pour préparer vos sorbets. Autant que possible, préférez des œufs et du lait de ferme ainsi que des fruits de saison. Ce qui ne veut pas dire que vous ne pouvez pas réaliser d’excellents sorbets avec du lait en boîte. Un autre avantage à faire vous-même vos sorbets, c’est bien plus économique au final. Bien sûr, il y a le prix d’achat d’un appareil au début, mais ce coût doit être rapidement amorti et vous pouvez préparer différentes sortes de surprises glacées à votre famille quand vous le souhaitez. L’achat d’une sorbetière est intéressant pour réaliser d’excellents sorbets maisons sans se ruiner, d’où l’importance de trouver le modèle qui vous convient le mieux.

Avec ou sans sorbetière

Savez-vous qu’il est possible de réaliser des sorbets sans sorbetière ? Il suffit juste de connaître les principes de base et vous obtiendrez de bons sorbets. Pas besoin non plus de sorbetière pour réaliser des granités. Il suffit de gratter cette base de sorbet au fond du bac de congélateur à l’aide d’une fourchette jusqu’à ce que ça prenne et vite, il faut la manger. Il est également possible de préparer de la crème anglaise, de la crème fouettée en l’absence d’une sorbetière, de même que des nougats glacés ou des meringues. Si vous possédez un blender ou un Thermomix, ce sont des appareils parfaits pour toutes ces préparations. À rappeler cependant qu’il faut consommer de suite vos préparations, autrement, elles ne tiendront pas et deviendront de la mélasse. Mais si vous avez une sorbetière, la tâche est d’autant plus facile. Vous n’avez qu’à suivre la recette de votre choix et vous vous servez de votre appareil pour des sorbets qui approchent ceux des meilleures pâtisseries. Réunissez les ingrédients nécessaires : de l’eau et du sucre de fruits ou de liqueur et zéro matière grasse ajoutée. Pour le fun ou pour changer un peu la texture, remplacez le sirop par une meringue italienne et vous aurez un spoom, du sorbet mousseux en quelque sorte.

Quelle sorbetière choisir ?

Aujourd’hui, malgré la diversité des sorbetières modernes sur le marché, il y a un certain nombre de personnes qui continuent d’utiliser des appareils démodés, mais efficaces. C’est le cas des modèles comme ceux largement utilisés aux Antilles qui consistent en une cuve métallique, un seau en bois. Il faut mettre du sel et des glaçons entre ces deux outils et tourner la manivelle à la main. Sorbets de rêve garantis ! Il existe une version plus ou moins similaire, toujours avec une cuve cylindrique en métal et un bol en plastique, du sel et des glaçons, mais le tout posé sur un bloc moteur. En seulement 30 minutes, voire moins, des sorbets exquis sont à votre disposition. Mais si vous trouvez ces méthodes un peu archaïques, vous trouverez facilement dans les magasins une sorbetière électrique simple. Ce genre de sorbetière ne fait pas partie des meilleurs, mais elle ne coûte pas grand-chose et peut dépanner si vous ne comptez faire des sorbets que de façon ponctuelle. Rassurez-vous, il existe aussi des modèles de sorbetières très performants, et pourtant il y en a qui ne coûtent qu’entre 20 et 100 euros et très efficaces.

Sorbetière à accumulation ou turbine à glace

Une sorbetière à accumulation est très simple d’utilisation. En une demi-heure à peine, vous obtenez vos sorbets. Placez le bol dans le congélateur pendant quelques heures, puis versez-y votre préparation, posez dessus le couvercle muni d’une pale rotative, branchez l’appareil et il fait le travail. Le sorbet qui en sort est onctueux, sans paillettes et homogène, mais pensez à toujours le consommer de suite. Quant à la turbine à glace, c’est un appareil qui fabrique lui-même le froid, ce qui permet une préparation plus rapide et directe, sans passer par la case congélateur. Avec son propre système de réfrigération, cette sorbetière autonome est une alternative de choix. Elle se démarque également par un turbinage qui se fait à température négative constante. Si vous choisissez un modèle haut de gamme, l’appareil s’arrête automatiquement dès que la consistance voulue est atteinte. Comme la cuve en inox est amovible, vous avez la possibilité de faire plusieurs parfums et d’ajouter différents ingrédients lors de la préparation : noisettes, éclats de chocolat, etc.

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Qu’est-ce que le vrac ?

Le vrac est un mot d’origine néerlandaise qui signifie mauvais. Mais en général, il désigne les marchandises ou les produits non emballés vendus dans les magasins ou centres commerciaux. Depuis le 10 février 2020, la vente en vrac est définie par une loi sur la consommation : l’article L120-1 permet d’encadrer cette pratique et de rassurer les consommateurs.

À noter que le vrac concerne tout type de produits, solide ou liquide. De ce fait, vous trouverez différents produits vendus en vrac dans les magasins spécialisés. Vous y trouverez notamment des céréales, du riz, des pâtes, de l’huile, mais aussi du gel douche, du shampoing, de la lessive et des produits cosmétiques.

Les avantages d’acheter des produits en vrac

Acheter des produits en vrac est une attitude écoresponsable, puisque cela permet de sauvegarder les ressources naturelles. En effet, quand on achète en vrac, on évite l’utilisation d’emballages qui ont un impact conséquent sur l’environnement, que ce soit par leur confection, leur recyclage ou leur simple abandon partout dans la nature. Donc, acheter en vrac permet de faire zéro déchet. Lorsque vous faites des courses et que vous pensez acheter en vrac, vous partez de chez vous avec des sacs réutilisables et des contenants, par exemple des pots de verre.

Les produits en vrac sont en général moins chers et vous pouvez mesurer la quantité que vous achetez, ainsi vous pouvez économiser. Contrairement aux produits déjà emballés, avec le vrac, vous pouvez n’acheter que ce dont vous avez réellement besoin. Acheter en vrac réduit alors le gaspillage alimentaire.

Les bonnes pratiques à adopter pour acheter des produits en vrac

Il y a quelques bonnes pratiques que vous pouvez adopter lorsque vous achetez des produits en vrac. Avant de partir de chez vous, vous devez notamment vérifier le contenu de votre frigo et de vos placards. Faites une liste de tout ce dont vous avez réellement besoin. Vous devez aussi prévoir vos menus et faire une liste des ingrédients nécessaires à acheter pour mesurer la quantité à acheter et éviter ainsi le gaspillage. Puis, n’oubliez pas d’emporter avec vous des sacs à vrac et des tote bags puisque vous allez faire des courses sans emballage.

La plupart des magasins spécialisés en vrac acceptent tous les contenants lorsqu’ils sont propres et ont été au préalable pesés. Si vous n’en avez pas à la maison, les magasins qui vendent des produits en vrac proposent aussi habituellement des contenants consignés pour vos courses.

Enfin, pour que vos produits en vrac restent en bon état, vous ne devez pas oublier d’entretenir vos contenants et bocaux en les désinfectant régulièrement. À noter que les produits en vrac sont devenus très répandus actuellement. De ce fait, vous pouvez en trouver dans presque tous les supermarchés et grandes surfaces, dans les rayons dédiés au vrac. Il est aussi à noter qu’acheter du bio en vrac sur internet c’est possible avec l’intendance. Vous l’aurez compris, vous pouvez faire vos achats en vrac en magasin physique ou en ligne, qu’il s’agisse de produits bio ou non.

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Faites-les vous-même !

Si en plus, vous avez la chance d’avoir des arbres fruitiers, et que c’est la saison d’un fruit ou d’un autre, n’en jetez rien, faites de la compote, à volonté ! Ou bien votre frère qui habite à la campagne vous ramène des kilos de pommes, de fraises ou de pêches, soyez heureuse, vous aurez des bocaux entiers de compotes bientôt. Maintenant, si ce n’est pas vraiment votre spécialité, pas de panique, les compotes, c’est tellement facile à réaliser ! Et pour stériliser vos pots et bocaux, donc, vos compotes, il suffit de maîtriser les bons gestes.

Le matériel qu’il vous faut

D’abord, les bocaux. Si vous en avez en verre à monture métallique, c’est parfait, mais d’autres peuvent très bien convenir aussi. Les anciens bocaux de confiture, de compotes achetées en commerce etc., se prêtent très bien aux compotes fait maison que vous vous apprêtez à faire. Le seul hic, c’est que les bocaux à confiture classiques ne peuvent pas être stérilisés de la bonne manière. Il vous faut aussi des rondelles en caoutchouc, à ouverture facile. Un tire-rondelle est donc un outil intéressant que vous devez vous procurer. Et bien sûr, vous avez besoin d’un récipient de grande taille pour la partie stérilisation. Ce peut être une cocotte ou tout simplement une grande marmite. Si vous possédez un stérilisation, c’est naturellement la meilleure solution. Dans tous les cas, veillez à ce que, une fois que les bocaux sont à l’intérieur, vous pouvez les recouvrir de 2 cm d’eau, au moins. Et il faut que la marmite soit assez spacieuse afin que les bocaux ne se touchent pas (au risque de se casser) pendant la stérilisation. Prévoyez aussi un grand torchon que vous déposerez au fond du récipient, toujours pour éviter que les bocaux ne se cassent durant la stérilisation. Vous aurez aussi besoin d’un minuteur pour ne pas dépasser le temps imparti, de même qu’une louche et d’un entonnoir à bocaux pour remplir ceux-ci.

Quelques recommandations

Veillez à ce que tous vos bocaux soient en bon état et ne présentent aucune ébréchure. Commencez par bien les laver avant de pouvoir les stériliser. Cette opération de stérilisation se déroule pendant 10 minutes environ pour qu’elle soit efficace. Les capsules ou rondelles de couvercle doivent être neufs. Et gardez à l’esprit que vous êtes obligée de mettre en pots les compotes lorsqu’elles sont encore chaudes. La stérilisation se fait tout de suite après cette mise en pots. Lorsque c’est fait, vérifiez qu’il n’y plus d’air du tout dans les bocaux et qu’il est impossible de soulever le couvercle ou d’enlever la capsule à la main. Vos compotes peuvent être conservées.

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Le végétarisme et tout ce qui s’y apparente

Le végétarisme est sans doute le mode alimentaire le plus facile à adopter dans la mesure où il est richement documenté. Les informations sur l’alimentation végétarienne ne manquent pas à ceux qui souhaitent sauter le pas. La page sur http://devenir-vegetarien.net vous permet par exemple d’en savoir plus sur ce mode d’alimentation. Pour adopter ce nouveau régime, il est nécessaire de passer par une période de transition, car le corps a besoin de s’y adapter. Durant cette phase « préparatoire », le futur végétarien se transforme en flexitarien. Il réduit progressivement sa consommation de viande, comme s’il entre dans une période de sevrage. Le végétarisme fait l’objet d’un grand nombre de critiques, de remise en cause, de spéculations, de rumeurs et d’affirmations qui n’ont aucune base scientifique. Vous devez toujours démêler le vrai du faux. Car parfois, certaines informations vous décourageront alors qu’elles sont infondées. Le végétarisme est un engagement personnel : on prend cette voie pour son corps, son esprit, mais aussi pour la planète. Car, oui, être végétarien c’est apporter sa contribution personnelle à la lutte pour la préservation de l’environnement. En outre, être végétarien, c’est apprendre à respecter les animaux et à se soucier de leur bien-être. C’est mieux connaître le règne végétal et en déceler ses secrets nutritionnels, voire thérapeutiques.

Le mode alimentaire méditerranéen ou crétois

Concrètement, on se met à manger les mêmes aliments que les populations des pays situés sur le pourtour (bassin) méditerranéen. L’huile d’olive est de rigueur, quel que soit le plat ! Les légumes et les légumineuses sont les ingrédients principaux des plats salés. Ce mode alimentaire se caractérise aussi par une consommation abondante de fruits. On note, par ailleurs, la présence massive des céréales ainsi que d’herbes aromatiques. La viande est occasionnelle. Le poisson se retrouve un peu plus fréquemment sur la table, même si sa consommation demeure limitée. Autrement dit, il n’est pas indispensable. Le lait de chèvre, celui de brebis, les œufs et le vin font l’objet d’une consommation modérée. Contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, le mode alimentaire méditerranéen n’est pas du tout ennuyeux pour les papilles. Les recettes sont extrêmement nombreuses dans cette partie du Monde.

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Qu’avez-vous besoin ?

Pour réaliser ce délicieux dessert pour 10 personnes, vous devriez avoir 1,5 kilo de fromage brocciu frais. Cet ingrédient est fabriqué spécialement à partir de brebis corse. Ensuite, ajoutez dans votre panier 450g de sucre ainsi que 12 œufs. Pour l’accompagnement, il vous faut 5 citrons à zester. Si vous pouvez trouver de l’eau de vie de Cédrat, vous pouvez en utiliser seulement 5cl. Pour rappel, cette dernière est un alcool corse. Elle peut être ajoutée dans la préparation ou non. Cela ne dépend que de votre souhait. Pour compléter la liste des ingrédients, vous devez acheter un papier sulfurisé si vous n’en avez pas encore chez vous.

Tentez la recette

Passons maintenant à la préparation ! D’abord, cassez les œufs, et ajoutez le sucre. À l’aide d’une batteuse, faites blanchir les deux dans un seul récipient. Ensuite, passez le brocciu au moulin à légumes. Puis, râpez l’écorce du citron pour avoir les zestes, et rajoutez-les dans le brocciu. Mettez la quantité prévue d’eau de vie dans le mélange brocciu-zestes. Ajoutez-y la première mixture (œufs-sucre blanchis). Pour terminer la préparation, mélangez l’ensemble avec un fouet. En ce qui concerne la cuisson, recouvrez une grande moule d’un papier sulfurisé. Versez la pâte dessus et laissez-la cuire au four à 160°C pendant environ 50 minutes. Enfin, sortez le tout et laissez le gâteau se refroidir. Félicitation ! Vous l’avez réussi.

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Des plats plus savoureux

En cuisine, le bio propose plusieurs avantages incontestables. On peut citer notamment, la réussite des plats et la réduction des dépenses. En effet, le manque d’ingrédients chimiques dans leur production et leur transformation en optimise non seulement le goût, mais aussi la taille. Ainsi, avec une tomate bio vous pouvez faire plus de choses qu’avec des produits en boites.
Le goût est également plus prononcé dans le bio. Les tomates sont plus sucrées, l’autre légume plus fondant en bouche et les viandes sont plus rouges. Les mêmes caractéristiques sont rencontrées dans les produits laitiers bios et les autres articles de ce genre. Les chefs et les amateurs de cuisine ne sont plus aujourd’hui que très peu à ne pas s’être penchés vers le biologique, d’autant plus que le prix est raisonnable. Le bio vous garantit également une bonne santé, loin des risques des produits chimiques.

Des avantages pour la santé

Outre de participer à la réussite ou non de vos plats, le biologique est aussi prisé pour ses vertus sanitaires. En effet, le manque de produit chimique dans ce genre de produit limite les risques de cancer et de prolifération de maladie grave. Comme quoi, manger bio équivaut à manger sainement.
On tient tout de même à souligner que les produits bios sont bien plus nombreux et diversifiés que ce que l’on pourrait croire. Bien souvent, on se cantonne aux légumes et aux fruits. Aujourd’hui cependant, dans les rayons des grands magasins, on peut trouver aussi des viandes bios, les produits laitiers bio, du beurre bio, etc.
Différentes marques sont disponibles. Certaines sont notamment plus radicales dans le respect de l’environnement dans la production de leur article. Les emballages sont aussi recyclables. Bien que ces derniers soient un peu plus chers que les autres, ils commencent à se faire une place de choix sur le marché.

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Les conséquences de la culture intensive

La culture intensive a principalement eu comme conséquence la déforestation. Afin d’avoir plus de terrains à cultiver, il a été nécessaire de réduire les forêts en champ de culture. Pourtant, les arbres sont les seuls à pouvoir produire assez de gaz carbonique et de CO2 pour stabiliser l’atmosphère. La déforestation diminue la pluie qui est pourtant nécessaire, à la fois pour les cultures et la régénération de la terre. La terre a du mal à reprendre son souffle et la culture intensive amenuise de façon irrémédiable les nutriments. A terme, la culture intensive condamne la planète et nous même par ricochet.

Les produits chimiques dans l’industrie agroalimentaire

Dans cette quête d’augmenter la production, les produits chimiques sont très présents dans les cultures. Eléments synthétiques, ces produits ont du mal à être recyclés et se déversent directement dans la nappe phréatique. Nous assistons aujourd’hui à une pollution à grande échelle qui concerne tout le monde entier. Les ressources naturelles deviennent inexploitables et l’homme est en train de s’empoissonner lui-même.
Les recherches font d’ailleurs état du danger que représente l’utilisation de produits chimiques dans les aliments. Ils sont responsables de beaucoup de maladies actuelles. D’ailleurs, nous recensons aujourd’hui plus de cas de cancer qu’il y a soixante ans, une grande partie est liée à l’alimentation industrielle. Si la course à la suffisance alimentaire tendait à répondre à nos besoins actuels, l’impact de nos actes sera légué à nos descendants successifs.

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L’alimentation saine et équilibrée

Ces nutriments sont des éléments clés pour une bonne santé et un meilleur équilibre nutritionnel. On nous a souvent dit qu’une alimentation saine et équilibrée pourrait nous offrir une bonne santé, mais avec les produits bios, le résultat est plus garanti. Les antioxydants vont contribuer activement au bon fonctionnement de votre cœur et vont réduire vos risques de maladies cardio-vasculaires et neurodégénératives. La consommation de polyphénols aussi permet de prévenir des maladies inflammatoires, des maladies cardiovasculaires et même le cancer. Si on vous encourage de consommer bio aussi, c’est pour le développement rural. La production de fruits et de légumes « verts » génère plus d’emplois.

Manger bio pour votre santé

Il est vrai que dans le rayon des supermarchés, les aliments bio coûtent plus cher, mais vous devez faire un effort pour votre santé. Pour la production de ces produits, la main d’œuvre est plus importante, on doit travailler le sol pour détourner les procédés chimiques. La production est plus faible pourtant, la demande est bien élevée.
Manger bio est devenu une tendance, pourtant les prix qui s’affichent ne sont pas des moindres. Vous pouvez garder votre budget de consommation, mais il va falloir rééquilibrer ce que vous allez mettre dans votre caddie lorsque vous faites vos courses. Vous pouvez, par exemple, privilégier les fruits et légumes de saisons. Il est hors de question de remplir votre caddie avec des boîtes de conserve, prenez des fruits et des légumes bio et apprenez à cuisiner.

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